« A l'ombrelle d'Elie »

Sur la toile circelée, un friselis de feuilles,
De rochers escarpés, et d’anciennes cassines.
Il est là Saint Elie qui s’érige et fascine.
Et chapelle confrérie, fait de toi bel orgueil.

Rouges sont les spinelles de ces arbres fleuris !
Au soleil qui s’éveille de mille et une sagettes.
Façades rubigneuses, que le peintre projette,
Pour cultiver l’émoi de ce divin pourpris.

Par ondes déliées, fluantes et subtiles,
C’est au vert molequin que s’invite la belle.
À l’ombrelle d’un Elie, au clocher qui rutile,
Elle sourit de céder au rite de Cybèle.