Vital-S3_1-50_70

Sous le béton grisonnant, la nature s'endort,
Mais dans l'ombre persiste son murmure fort.
La ville, écrin de métal et de pierre froide,
Cède aux racines, laissant la vie à chaque étoile.

Les fleurs percèrent le bitume sans peur,
Le vent danse parmi les tours, libre et vainqueur.
Les arbres, vigoureux, étirent leurs bras verts,
Réclamant leur place, laissant l'asphalte en désert.

Les rivières oubliées murmurent leur chanson,
Reconquérant leur lit, rétablissant l'union.
Le béton s'effrite, cédant face à la terre,
La nature renaît, une victoire sincère.

Au cœur de l'urbanité, la nature resplendit,
Un éclat vert émerge, éternel récit.
La ville et sa jungle, dans une danse éternelle,
Où la nature reprend, triomphante et rebelle.